BART ± these streets are yours, you can keep them.

Barney 'Bart' Newton
26 ans ▲ date à Sacramento ▼ étudiant en médecine / chroniqueur radio ▲ célibataire

→ It's the end of the world.

Bart n’aurait jamais dû survivre à cette apocalypse. Quiconque l’a rencontré un jour – passé ou présent – se rend à l’évidence qu’il n’a pas l’étoffe d’un survivant, encore moins d’un héros. Et pourtant, plus d’un an après l’arrivée des zombies en ville, il est toujours sur ses deux pieds, à ruiner la vie de tous ceux qui ont le bonheur de croiser son chemin. Il ne doit sa survie qu’à de chanceux hasards, Newton Jr. étant l’individu qui sait au mieux se trouver au bon endroit au bon moment sans jamais le faire exprès. S’il n’avait jamais véritablement eu de chance dans sa vie d’avant, son karma a vécu un grand revirement puisqu’il est un jour parvenu à tomber sur la bonne personne qui l’a aidé à franchir les portes du centre commercial, où il a depuis lors trouvé refuge. En plus d’une protection non négligeable contre les morts-vivants, l’endroit offre des ressources diverses et variées qui lui font parfois oublier la situation. Au premier rang de ces distractions, il y a la boutique de comics, dans laquelle il a vite installé son lit et qu’il a transformé en véritable petit foyer pour lui – seuls les survivants les plus jeunes ont le courage et le droit de lui rendre visite pour faire la lecture ou jouer avec les figurines de collection qui ne valent hélas plus grand-chose. Au plus grand désarroi de ses « colocataires », il a également mis la main sur la pièce du centre commercial où, jadis, étaient présentées les annonces du magasin. Ainsi, tous les jours, il s’enferme dans son bureau dont lui seul possède la clé et diffuse ragots et bonne musique jusqu’à ce qu’il se lasse ou que quelqu’un menace de faire sauter le verrou de sa forteresse. En dépit des nombreuses plaintes reçues, il a conscience que ses bulletins quotidiens sont les bienvenus, il joue le comique de service pour leur faire oublier au moins l’espace de quelques minutes leur quotidien plus que précaire. Il ne prend également nullement part aux guerres internes qui secouent l'établissement, il est aussi neutre que la Suisse. Son unique désir est d’être la voix de l’espoir dans un monde bien trop sombre. Ce n’est pas de sa faute s’il est un peu nasillard...

→ All my battles have been won.

→ But the war has just begun.

Enfant, il collectionnait les maladies plus ou moins graves, ce qui lui a valu d’être couvé par ses parents dès le jour de sa naissance. Au plus grand désarroi de sa jumelle, qui n’avait hélas pas autant de soucis que lui et qui passait donc au second plan. ► Il va aujourd’hui mieux si on met de côté son asthme, ses problèmes de vue ainsi que son incapacité à prendre du poids en dépit de ses choix alimentaires douteux. ► Il est émotionnellement instable et très lunatique, il change d’humeur en un claquement de doigts, ce qui peut s’avérer gênant, pour lui comme pour ses interlocuteurs. Ou son auditoire. ► C'est un fan de rock. Hard, indie, old school, tout y passe. ► Il a débuté sur le tard des études de médecine et était en première année lorsque l'épidémie a décimé la majorité de la population américaine. Inutile, donc, de lui demander de recoudre des plaies ou de faire un diagnostic. ► Il a perdu son pucelage quelques jours avant l'apocalypse, il est par conséquent persuadé que c'est lui qui a attiré le malheur sur la planète. ► Il a été élu « voix la plus agaçante » de son lycée et son timbre n’a pas changé depuis. ► Il vivait chez ses parents et a été témoin de leurs morts. Si sa mère est décédée sur le coup, son père a pris plus de temps à partir. Il a assisté, impuissant, à sa transformation et a bien failli lui-même se faire dévorer par celui qui autrefois l’avait bercé. ► Il voue une reconnaissance éternelle à celui qui l’a sauvé, même si pour ce faire ce dernier a fait exploser la cervelle de Newton Sr. sous ses yeux. ► Il n’est pas sportif pour un sou mais ses grandes jambes font de lui un être très rapide, ce qui est pratique pour jouer le rôle de leurre – ce qu’il a déjà été amené à faire, plusieurs fois. ► Bizarrement, il est beaucoup moins embêté par le reste des survivants depuis que sa sœur est dans les parages. ► Il est amoureux. L’ensemble de la galerie marchande est au courant car il ne s’en cache pas et crie publiquement son affection dans son micro. Le hic ? Il n’a jamais adressé la parole à l’objet de son désir parce qu’il est bien trop timide et qu’elle est évidemment inaccessible. ► Il se coupe lui-même les cheveux, d'où, parfois, quelques ratés. ► Malgré son omniprésence dans le contexte actuel, le rouge reste sa couleur préférée. ►

Citation :

AVATAR

Jay 'boulet' Baruchel.

PSEUDO : They call me Hell, they call me Staceeeey, that's not my name, that's not my name!
Où avez-vous connu le forum ? Au rayon crème glacée de chez Picard, sous un cadavre.
What else ? I don't read the script, the script reads me.
Copyright : mrbeniciodeltoro.

Barney Newton a écrit:: ► Il a perdu son pucelage quelques jours avant l'apocalypse, il est par conséquent persuadé que c'est lui qui a attiré le malheur sur la planète. ► Il est amoureux. L’ensemble de la galerie marchande est au courant car il ne s’en cache pas et crie publiquement son affection dans son micro. Le hic ? Il n’a jamais adressé la parole à l’objet de son désir parce qu’il est bien trop timide et qu’elle est évidemment inaccessible.

Oh.

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Il fait tout jeune et innocent sur la photo BART ± these streets are yours, you can keep them. 53645571

Wren Newton a écrit:

Barney Newton a écrit:: ► Il a perdu son pucelage quelques jours avant l'apocalypse, il est par conséquent persuadé que c'est lui qui a attiré le malheur sur la planète. ► Il est amoureux. L’ensemble de la galerie marchande est au courant car il ne s’en cache pas et crie publiquement son affection dans son micro. Le hic ? Il n’a jamais adressé la parole à l’objet de son désir parce qu’il est bien trop timide et qu’elle est évidemment inaccessible.

Oh.

Il fait tout jeune et innocent sur la photo BART ± these streets are yours, you can keep them. 53645571

C'était exactement ce que j'allais citer. Tout particulièrement la partie du dépucelage. On a quelqu'un à blâmer maintenant, c'est cool !

S'il avait su, il ne l'aurait pas fait, aaaah BART ± these streets are yours, you can keep them. 378864

La photo, c'est sa tête quand son père est mort sous ses yeux, normal study

... C'est sûr que là c'est moins mignon la photo en sachant ça